Ouija

c'est quoi ? 

Des lettres et des chiffres, une planchette, quelques spirites et c'est tout !

Et voici ce j'ai compris de ma pratique depuis 2011.


SOMMAIRE

Le principe
Le nombre de participants
La pratique
Les protocoles
Le comportement adapté
Nos interlocuteurs

Exemples de planches OUIJA


  

Le principe  

Il consiste à mettre en mouvement un curseur, appelé goutte, qui navigue de lettres en lettres, jusqu’à composer des mots, puis des messages. On peut disposer des lettres et des chiffres en papier sur une table (suffisamment glissante pour limiter l’effort) et utiliser un verre, léger, si possible, que viennent effleurer les doigts des spirites. Le plus pratique consiste à utiliser une planche, généralement en bois verni (toute matière glissante convient), sur laquelle sont gravées les lettres et chiffres nécessaires à l’essentiel d'une communication efficace. Chaque participant affleure d’un, deux ou trois doigts une planchette, appelée « goutte », percée ou non, qui sert de pointeur et glisse de lettre en lettre, sous l’influence de l’esprit qui se manifeste et de l’énergie mise à disposition par l’assemblée.

Le nombre de participants  

Il varie selon les circonstances. La dimension de la goutte limite de nombre de doigts, donc de participants.
Il n'y a pas de place prédéterminée. Le confort de chacun est souhaitable.
Seul, c'est possible mais le déplacement est plus lent (d'après mon expérience). Un cercle constitué de plusieurs personnes sincères et dans de bonnes intentions sera toujours plus efficace qu'un cercle de curieux ou en recherche d'amusement. Plus que le nombre de participants, c'est la convergence des pensées dominantes mises à disposition qui attire les esprits.
La rapidité et la justesse des déplacements dépendent de l'énergie utilisée (celle des esprits et celle des participants) et donc ne sont pas toujours réguliers. Ils peuvent être lents ou rapides, parfois même hésitants ; tout dépend des capacités médiumniques des participants et de l’énergie de l’esprit.
Généralement, le mouvement de la goutte débute après quelques minutes (mais il peut arriver d’attendre jusqu’à une demi-heure, voire plus). La patience est de rigueur.

« Ensemble, nous avons beaucoup plus de force et l’âme qui ne peut pas se manifester passe par son ange gardien »

 

 

La pratique 

Au cours de ses déplacements, la goutte marque un temps d’arrêt sur chacune des lettres, pour former les mots, des phrases, un message. Il est donc souhaitable qu'un scribe prenne des notes. Avec la pratique, nous avons compris que nous pouvons suggérer des mots, car ils deviennent prévisibles, soit par intuition soit par déduction. Tant que le bon mot n’est pas prononcé, la goutte continue son voyage. Cependant, la précipitation dans l'anticipation des mots peut, finalement, nuire à la fluidité de l'échange.
Une séance peut durer de une à quatre heures, mais rien n’est figé à l’avance.
Chacun autour de la table, peut s’exprimer à voix haute, mais il est préférable de poser des questions, simples et claires, et une seule à la fois. Rien ne dispense de se lever, de faire une pause, de débattre. Le lien n'en est pas coupé pour autant.
Durant une séance, des participants peuvent éprouver une certaine fatigue, alors que d’autres se sentent portés et dynamisés et l'émotion est souvent très présente et partagée.
Il est bon que chaque groupe spirite pratique indépendamment des autres, car chacun adapte ses capacités au contexte et reçoit selon les intentions des participants.
Il n'y a, selon moi (et selon Allan Kardec), aucun protocole à mettre en place, autre que quelques minutes de concentration pour appeler à une séance constructive pour tous les participants, d'ici ou d'ailleurs. Pas plus qu'il n'y a d'états modifiés de conscience à subir.
Gardons bien à l'esprit, que ce sont les règles de l'au-delà qu'il nous faut adopter et non les nôtre qu'il nous faut imposer.
Quand le respect, la bienveillance et la compassion sont au menu, c'est la reconnaissance et l'amour qui nous sont servis !

Les protocoles  

En partie extrait du livre "Le spiritisme et ses messages d'amour"
Chapitre "Nos protocoles"

À nos débuts, avec comme seules connaissances, les croyances glanées au fil de nos lectures et discussions, nous utilisions, "comme tout le monde", un arsenal d’objets sensés nous protéger : encens, bougies, statuette de la vierge, photo de Jésus, sel, et j’en oublie certainement, sans compter les prières et invocations. Il y en avait pour tout le monde. Très vite, notre expérience et la confiance en nos interlocuteurs célestes ont remplacé les superstitions et les illusions par le réalisme. Notre foi en l’univers s’est peu à peu renforcée et les protocoles de protection ou d’invocation sont devenus si simples que je peux dire qu’il n’y en a plus aujourd’hui. Nul besoin de lumière tamisée, de masquer les miroirs, d’ouvrir les fenêtres (ou les fermer), de s’habiller en noir… Nous nous contentons, en début de séance, de joindre nos mains en cercle autour de la table et nous élevons nos pensées en demandant l’aide de nos guides et la venue de nos invités de l’au-delà, dans le respect et l’amour, avec comme seule ambition, le bien et le progrès spirituel pour tous. À cet instant, nous sommes dans la sincérité et le sérieux et autant que faire se peut, la sérénité.

Lorsque nous invitons de nouveaux pratiquants à notre table, nous prenons soin de leur présenter les principes de fonctionnement et de leur suggérer une attitude décontractée mais convenable.
À leur demande, nous pouvons éventuellement allumer une bougie. Voici la réponse d’un guide qui répondait à ma question sur les protocoles et les objets de protestions :

« Dois-je continuer à allumer une bougie et poser des photos du Christ et de mon père sur la table ?

- Non, ceci est un rite humain qui ne nous dérange pas mais qui vous rassure. »


Voici ce qu'a dit Allan KARDEC
au sujet des incantations, des rituels et leurs protocoles

Dans « Le ciel et l’enfer », chapitre X (repris du « livre des médiums », chapitre XVII)

"Il n'y a point de formule sacramentelle pour l’évocation des esprits. Quiconque prétendrait en donner une, peut hardiment être taxé de jonglerie, car pour les Esprits la forme n'est rien."

Dans « Le ciel et l’enfer », chapitre X (repris du « livre des médiums », chapitre XXV)

"Il n'y a aucun moyen de contraindre un esprit à venir malgré lui, s'il est votre égal ou votre supérieur en moralité, parce que vous n'avez aucune autorité sur lui ; s'il est votre inférieur, vous le pouvez, si c'est pour son bien, car alors d'autres esprits vous secondent...

... La plus essentielle de toutes les dispositions pour les évocations, c'est le recueillement, quand on veut avoir affaire à des esprits sérieux. Avec la foi et le désir du bien, on est plus puissant pour évoquer les esprits supérieurs. En élevant son âme, par quelques instants de recueillement au moment de l'évocation, on s'identifie avec les bons esprits, et on les dispose à venir...

... Aucun objet, médaille ou talisman, n’a la propriété d'attirer ou de repousser les esprits ; la matière n'a aucune action sur eux. Jamais un bon esprit ne conseille de pareilles absurdités. La vertu des talismans n'a jamais existé que dans l'imaginaire des gens crédules...

... Les esprits qui assignent des rendez-vous dans les lieux lugubres et à des heures indues, sont des esprits qui s'amusent au dépend de ceux qui les écoutent. Il est toujours inutile et souvent dangereux de céder à de telles suggestions ; inutile parce qu’on n’y gagne absolument rien que d'être mystifié ; dangereux, non par le mal que peuvent faire les esprits, mais par l'influence que cela peut exercer sur des cerveaux faibles."

Dans « Le ciel et l’enfer », chapitre X (repris du « Qu’est-ce que le spiritisme ? », chapitre II, n°49)

"La critique malveillante s'est plu à représenter les communications spirites comme entourées des pratiques ridicules et superstitieuses de la magie et de la nécromancie. Si ceux qui parlent du spiritisme sans le connaître, s'étaient donné la peine d'étudier ce dont ils veulent parler, ils se seraient épargné des frais d'imagination ou des allégations qui ne servent qu'à prouver leur ignorance ou leur mauvais vouloir. Pour l'édification des personnes étrangères à la science, nous dirons qu'il n'y a, pour communiquer avec les esprits, ni jours, ni heures, ni lieux plus propices les uns que les autres ; qu'il ne faut, pour les évoquer, ni formules, ni paroles sacramentelles ou cabalistiques ; qu'il n'est besoin d'aucune préparation ni d'aucune initiation ; que l'emploi de tous signes ou objets matériels, soit pour les attirer, soit pour les repousser, est sans effet et que la pensée suffit ; enfin, que les médiums reçoivent leurs communications, sans sortir de l'état normal, aussi simplement et aussi naturellement que si elles étaient dictées par une personne vivante. Le charlatanisme seul pourrait affecter des manières excentriques et ajouter des accessoires ridicules."

À bon entendeur.

Le comportement adapté  

En partie extrait du livre "Le spiritisme et ses messages d'amour"
Chapitre "Le comportement adapté"

Après l’étonnement et les questionnements, la détente s’impose au fils des mots transmis. Nos interlocuteurs célestes viennent parfois demander de l’aide, ou sont simplement dans l’errance . Il convient de toujours rester dans le respect et la modération, la bienveillance et la compassion, si besoin.
Nos commentaires ne sont nullement interdits, loin de là, les esprits y répondent très souvent.
Les éclats de rire, inspirés par la joie, ne seront jamais mal perçus, au contraire : "ils" ont beaucoup d’humour. Il arrive souvent que les esprits participent à ces instants de bonheur et le manifestent en dirigeant la goutte vers le soleil, dessiné dans un angle de la planche ouija.
Cependant, il nous est arrivé (une seule fois) qu’un participant, pourtant médium lui-même, prenait la séance "à la rigolade". De fait, la suite des lettres était incohérente, nos demandes et nos questions restaient sans réponses. Mon épouse et moi étions trop dérangés par cette attitude légère pour conserver notre sérénité et nous avons décidé d’interrompre la communication, au grand dam des autres participants. Ce fût néanmoins une leçon apprise : "ils" nous ont montré, ce jour-là, que "la chose" doit rester sérieuse.
Les pauses détente pour se désaltérer, fumer une cigarette, échanger sur les informations reçues, comparer nos ressentis, ne sont en rien préjudiciables au bon déroulement des séances. Lorsqu’après un arrêt qui peut durer plusieurs minutes, les intervenants reposent leurs doigts sur la goutte, elle ne tarde jamais à reprendre ses mouvements, comme si le canal restait toujours ouvert, à nous attendre.
Il arrive parfois d’être trop nombreux autour de la table. C’est sans problème que nous échangeons nos places pour permettre à chacun de participer. Cette pratique était commune au 19ème siècle. À Jersey, les séances de tables parlantes organisées par Victor Hugo pouvaient durer six ou sept heures. Comment les participants auraient-ils pu conserver leur attention sur de si longues périodes ?
Quand les mots s’enchaînent très rapidement, le scribe peut se dispenser de garder ses doigts sur la goutte. Si l’énergie reste suffisante, il peut se concentrer uniquement sur l’écriture, dans le cas contraire, il revient affleurer la planchette.
L’accueil dans le respect et l’amour d’une âme en détresse sera toujours le meilleur rempart aux dérives. La satisfaction et le bonheur que nous retirons de ces expériences valent mieux que mille conseils de ceux qui partagent leurs peurs.
Alors que l’humilité et l’acceptation mènent au lâcher-prise, l’analyse et la recherche de logique restent les principaux obstacles à la communication spirite.
Le ouija est un outil de spiritisme comme un autre. Il n’invente aucune vérité, il la transmet. Ce n’est pas le burin qui façonne la statue, mais l’artiste.
Néanmoins, s'il peut paraitre archaïque face au channeling ou à l’écriture inspirée, il est tellement plus démonstratif...
J’ai acquis, la certitude qu’il n’y a jamais de mauvaises expériences mais qu’elles sont, à la fois, le résultat de notre intention et de notre mérite. Lorsque surgissent les "mauvaises surprises", les problèmes, le réflexe consiste à éloigner ce que nous croyons en être la cause sans penser une seconde à nous questionner sur nous-même. Oserons-nous nous remettre en question, même s’il nous en coûte de reconnaitre notre degré d’immoralité. Il est évident que notre comportement moral, dans la vie de tous les jours, joue un rôle déterminant dans les résultats d’expériences spirites, quelles qu’elles soient. Il est inutile de se camoufler derrière des déguisements ou de belles paroles, on ne ment pas à l’au-delà. Pas d’hypocrisie possible.
À chaque expérience, sa leçon. J’en veux pour exemple ce qui suit.

Un inconnu se présente à la table. Son message restera incompréhensible, mais il nous quitte, emportant avec lui nos prières, non sans nous répondre avec un "merci", avant de nous quitter.
Malgré la réception de quelques autres messages d’encouragement, il faut bien reconnaitre la piètre qualité de la communication, avec des balbutiements sans cohérence. C’est l’hésitation et l’incompréhension des écrits d’un autre intervenant qui nous a le plus troublé (modérément, tout de même). Nous sommes désolés pour nos convives et leur expliquons que cela arrive parfois et qu’il ne faut pas se laisser prendre au piège du doute. Nous mettons ce très relatif "échec" sur le compte de la fatigue.
Le lendemain matin, après quelques semaines de pose dans sa lecture, je reprends le "livre des tables(*)" de Victor Hugo. Comme à l’accoutumée, je savoure les expériences de tables parlantes qu’il a soigneusement répertoriées dans ses quatre cahiers. Et c’est là que prend tout son sens le terme "il n’y a pas de hasard". Je tombe immédiatement sur le récit de la communication du 21 janvier 1855 :

Victor Hugo :
« Qui est là ?
- d i p i m o l l i m o n l e l g
- Parle intelligiblement.
- a f f a m œ
- Qui que tu sois, parle clairement
- c e c d
Etc.

Une heure et 5 minutes plus tard, leur séance est close, sans succès.

Le spiritisme n'est pas une science exacte. Rien n'est déterminé par avance. Nous ne pouvons qu'exprimer nos demandes et les réponses, comme les questions, traversent une multitude de paramètres.

Apprenons à vous entourer de personnes sincères et honnêtes.
Soyons authentiques avec nous-même, avec notre entourage. Ne revêtons pas le masque de l’hypocrisie.
Ne cherchons pas à ruser, à tromper l’au-delà, c’est IMPOSSIBLE.
Ne jouons pas au plus malin, nous sommes certains de perdre, mais cultivons plutôt sans relâche, la simplicité, la franchise et l’humilité.
Soyons toujours l’élève plutôt que le maitre.
Demandons l’aide de nos guides, ils nous observent et nous escortent fidèlement.
Modérons nos requêtes et nos exigences.
Acceptons la contrariété et l’insuccès autant que la surprise.
Laissons de côté notre soif de sensationnel ou d’émotions fortes.
Maitrisons notre émotivité, elle altère la réalité.
Restons dans la compassion, le respect et le plus possible dans la tolérance et le pardon, ce qui est bien plus facile à dire qu’à faire.
Ouvrons notre cœur ! Il est rempli d’amour divin. Ne confondons pas cet amour du vrai avec l’amour de circonstance que nous offrons, à l’occasion d’une demande, d’une satisfaction ou d’une déconvenue, celui que nous avons appris à adapter à l’événement et à galvauder par quelques belles paroles invoquées par un mental effrayé ou en convoitise.
Apprenons à prier sans chercher les mots, d'abord avec le cœur.
Soyons dans l’offre et non dans la demande.
Gardons confiance en nous et en nos guides.
Croyons en nous ! Vraiment !
Soyons vrais !

… Et l’humilité d’entourer notre égo.

(*) "Le livre des tables. Les séances spirites de Jersey" - Folio classique
Quatrième cahier, page 511

Victor Hugo a commencé ses séances de spiritisme le 11 septembre 1853, soit 16 mois plus tôt.

 

Nos interlocuteurs 

En partie extrait du livre "Le spiritisme et ses messages d'amour"
Chapitre "Le comportement adapté"

En partie extrait du livre "Le spiritisme et ses messages d'amour"
Chapitre "Nos interlocuteurs"

Définitions Wikipédia :

"L’âme est le principe vital et spirituel, immanent ou transcendant, qui animerait le corps d'un être vivant (humain, animal, végétal)."
"L’esprit est la totalité des phénomènes et de facultés mentales : perception, affectivité, intuition, pensée, concept, jugement, morale… Dans de nombreuses traditions religieuses, il s'agit d'un principe de la vie incorporelle de l'être humain.
En métaphysique et dans les religions, le mot esprit désigne normalement l'élément immatériel incarné en l'être humain. Par extension se dit aussi de tous les êtres immatériels supposés doués d'intelligence.
En psychologie, le mot esprit désigne les processus mentaux et la faculté de penser propre à l'homme.
"Une entité, dans son sens le plus général, est une chose, un objet, ou une réalité, voire une substance au sens philosophique, toujours de nature et de propriétés indéterminées, et apparemment dotée d'une forme d'individualité, d'identité ou d'unité."

Chacun sera d’accord ou pas avec ces définitions qui manquent quelque peu d’élégance, mais le plus important est bien de se comprendre.
Je reprendrai, ici, la définition, mentionnée dans mon premier livre ("Ils ont tant de belles choses à nous dire"), que m’a aimablement communiqué mon guide :

« L’âme est le sens global que donne la divinité à la vie qui est accordée à l'individu.
L'esprit est le contenant de tout ce qui lui est nécessaire pour réaliser cette vie. »

Vouloir communiquer avec les mondes invisibles, potentiellement habités par d’innombrables "entités", c’est évidemment accepter parfois des rencontres non souhaitées, mais c’est avant tout avoir le sens de l’accueil. Combien de fois n’ai-je pas entendu ces affirmations : « je ne veux recevoir que ceux que j’appelle » ou « si je ne connais pas je coupe la liaison » ou encore « si ce n’est pas l’âme que j’ai appelée, alors, c’est le malin… ». Voilà bien une attitude contre-productive, inspirée davantage par l’orgueil et la peur que par la charité et la bienveillance. La seule décision qui nous appartient vraiment, c’est de pratiquer le spiritisme. Pour ce qui est de nos hôtes célestes, le monde spirituel qui nous guide et nous accompagne, est bien plus à même de savoir qui peut ou doit être notre interlocuteur du moment, pour satisfaire, non pas un effet recherché mais l’efficacité pour notre évolution spirituelle.
Nos appels sont toujours entendus, mais il y a grosse différence entre vouloir tout contrôler et savoir tout maitriser. Le libre-arbitre existe aussi de l’autre côté du voile, et il EST RESPECTÉ.
Et même si la surprise est au rendez-vous :

« Sachez que tout se passe sous le regard attentif de vos guides et avec la permission du Un. »

Ainsi, au cours de nos expériences, nous avons conversé avec des défunts, connus ou inconnus, des âmes errantes, des célébrités et des guides.
Les premiers manquent parfois d’énergie. Alors leurs guides peuvent les aider, sans jamais trahir leurs pensées.

Je vous laisse le plaisir de découvrir les divers contacts que nous avons eu (et que nous continuons d'avoir) dans mon ouvrage "Le spiritisme et ses messages d'amour",
Chapitre "Nos interlocuteurs",
sous chapitres "Les défunts connus", "Les êtres inconnus et les âmes errantes", "Les célébrités", "Les guides". Et pour aller plus loin, savourez les comptes-rendus et les fables issus de notre relation avec Jean de La FONTAINE, présentés sur ce site.

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391255 visites Dernière modification : 01/12/2024 à 18:19
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